La vie marchande de l’écrit-seconde, de l’ES, de l’écriture du temps, est une vie aléatoire, suspendue, dont le modèle économique, à cette heure encore matinale du texte, n’est pas encore au point, est encore expérimentale, en phase d’expérimentation – le tout en une seule phrase, il faut le signaler à l’attention du lecteur, du patronat qu’est la communauté des lecteurs, communauté patronale parfois superficielle, et qui traite mal son employé-auteur, en ne voyant pas, en lisant trop vite, ce qui, dans un écrit du temps, est une faute, une faute grave de patron qui dirige son entreprise de lecture.
jeudi 14 mai 2009
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