Puisqu’une seconde est l’unité standard du présent, qu’elle signifie et désigne le présent dans sa plus complète dimension, l’écriture d’une seconde doit, d’une manière ou d’une autre, désigner le présent de l’écriture, c’est-à-dire l’écriture elle-même, ce qui n’est pas une fermeture mais une ouverture considérable, difficile à assumer même, tant les désignations deviennent multiples, désorientées, distendues ( comme un plan brusquement étagés en plusieurs dont l’imbrication constitue la phase initiale d’appréhension (( phase décomposée elle-même dans la captation des étages l’un après l’autre ((( isolés d’abord puis reliés ))) à travers un parcours indirectement descriptif )) après quoi on peut raconter toutes les histoires possibles dans ce décor légèrement hétérogène).
lundi 11 mai 2009
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